Vendre 20 bouquets par an, c’est, en réalité, donner au Repaire de l’optimiste la chance de pouvoir s’exprimer et…
inviter à REFLECHIR à notre consommation! 
« … On estime que l’empreinte carbone d’un bouquet de roses hors saison équivaut à un vol Paris-New York« … dit un article de presse justement dévoué à ce sujet…
80% des fleurs viennent de très loin, et 92% pour les roses…
Avouez que ça porte à la réflexion, non? 
Les bouquets locaux et de saison sont disponibles sur commande ! A 9€ les 11 tiges et 18€ le bouquet de 25 tulipes, on ne peut pas trouver mieux… Enfin, si, bien sûr ! Que dis-je… quand des fleurs ont poussé dans des serres surchauffées alors que ce n’était pas la saison, qu’elles ont pris l’avion, qu’elles ont reçu plein de pesticides pour leur souhaiter longue vie, elles coûtent moins cher ! Allez comprendre 😊
Le but de cette plantation d’environ 2000 bulbes est double.
D’abord, je me délecte à les choisir, les planter, les regarder pousser, les cueillir, les assembler en bouquets et les livrer chez ceux qui le souhaitent .
Ensuite, c’est une raison de parler de la provenance des fleurs et de tous les acteurs du changement qui sont déjà en place. Sur le marché de la fleur comme dans les autres, il serait opportun que des questionnements vous traversent l’esprit, à cause notamment d’une utilisation massive de produits chimiques pour leur production, en plus d’un bilan carbone désastreux pour leur transport sur de très longues distances.
Il s’agit donc, pour ce volet, d’une toute petite activité pour ma part, qui permet de parler de ce sujet qui me tient à coeur, et ça, ça me fait plaisir !
